La Suisse pour le moment épargnée d’un taux élevé de radioactivité
Von
(Doris Zumbühl)
Selon l’Office Fédérale de la Santé Publique (OFSP), cinq détecteurs très sensibles, faisant des mesures dans diverses régions suisses, n’ont révélé aucune élévation du taux de radioactivité.
D’après la page Internet de l’OFSP, il n’y a eu pour le moment aucune irradiation supplémentaire. Les émissions seraient seulement un millionième plus élevées que d’habitude et ne présenteraient aucun danger pour la santé de la population suisse.
La situation est constamment contrôlée par l’OFSP, l’Inspection Fédérale de la Sécurité Nucléaire (IFSN) et par la Centrale Nationale d’Alarme (CENAL). Les résultats sont analysés au rayon gamma par le laboratoire de l’OFSP à Köniz. Le rayon gamma peut être décrit comme une onde électromagnétique et ressemble de ce fait au rayonnement radioélectrique et à la lumière visible. Elle nait donc de la transformation d’un noyau radioactif.
Les matières suivantes ont pu s’échapper des réacteurs japonais: gaz rares et iode; ceux-ci sont des substances légèrement volatiles. Le césium, strontium, uranium et plutonium se lient aux particules de poussière et peuvent encore être détectés 30 ans plus tard. (Voir aussi: Conséquences des substances radioactives).
Le vent éparpille les substances radioactives et réduit leur dose. Plus la distance avec la source de pollution est grande, moins la dose des substances est élevée. L’OFSP déclare qu’une dose radioactive importée du Japon à cause du vent représente pour les Suisses ‘‘des valeurs élevées négligeables‘‘. Pour le moment, de telles doses n’ont même pas encore été mesurées.
La situation est constamment contrôlée par l’OFSP, l’Inspection Fédérale de la Sécurité Nucléaire (IFSN) et par la Centrale Nationale d’Alarme (CENAL). Les résultats sont analysés au rayon gamma par le laboratoire de l’OFSP à Köniz. Le rayon gamma peut être décrit comme une onde électromagnétique et ressemble de ce fait au rayonnement radioélectrique et à la lumière visible. Elle nait donc de la transformation d’un noyau radioactif.
Les matières suivantes ont pu s’échapper des réacteurs japonais: gaz rares et iode; ceux-ci sont des substances légèrement volatiles. Le césium, strontium, uranium et plutonium se lient aux particules de poussière et peuvent encore être détectés 30 ans plus tard. (Voir aussi: Conséquences des substances radioactives).
Le vent éparpille les substances radioactives et réduit leur dose. Plus la distance avec la source de pollution est grande, moins la dose des substances est élevée. L’OFSP déclare qu’une dose radioactive importée du Japon à cause du vent représente pour les Suisses ‘‘des valeurs élevées négligeables‘‘. Pour le moment, de telles doses n’ont même pas encore été mesurées.
Office Fédérales de la Santé Publique OFSP
Doris Zumbühl
Doris Zumbühl est assistante médicale diplômée. Elle a obtenu plusieurs formations postgraduées dans les domaines du journalisme, de l’informatique et du traitement d'images.